Haribo
HARIBO France est la filiale la plus importante du groupe HARIBO. Ses deux sites de production de Marseille et Uzès emploient 700 personnes et produisent annuellement les 50 000 tonnes de bonbons qui représentent 40% du marché Français de la confiserie de sucre.
« HARIBO c’est beau la vie pour les grands et les petits » … Qui ne connaît pas la musique de nos publicités ?
Un petit air enjoué et insouciant, mais qui nous impose aussi des devoirs car il recèle une promesse. Et cette promesse, HARIBO l’a toujours tenue : ce n’est pas sans raison que les confiseries HARIBO sont tellement appréciées, depuis des dizaines d’années déjà.
Quand on est aussi populaire et aussi présent sur le marché, on éveille la curiosité.
Nous allons donc vous raconter l’histoire de la société et de ceux qui la font vivre.
Au fond d’une cour d’une maison à KESSENICH, en Allemagne Hans Riegel, confiseur de métier, installe son premier atelier de production de bonbons dans une buanderie. Le capital de départ est légendaire : un chaudron de cuivre, un four, un sac de sucre, une plaque de marbre et un rouleau de pâtisserie…
Le 13 décembre 1920, la société est créée sous le nom de HARIBO, l’acronyme de HAns RIgel Bonn. Il épouse en 1921 Gertrud Vianden dont il fait sa première employée. Pendant deux ans, elle va livrer en épicerie à bicyclette les friandises fabriquées par son mari.
Rapidement la firme grandit et compte 160 employés en 1929. Le début d’un grand succès!
Aujourd’hui, 350 000 tonnes de bonbons sont produits chaque année, 100 millions d’Ours d’Or fabriqués tous les jours, 20 000 friandises avalées par minute, voilà quelques chiffres qui auraient sans doute fait tourner la tête de Hans Riegel lorsqu’il installa sa confiserie, il y aura bientôt 100 ans, dans une humble buanderie de la ville de Bonn.
Avec 16 usines approvisionnant plus de 100 pays, Haribo est, à juste titre, l’une des marques les plus connues de la confiserie moderne. En inventant son Ours d’Or en 1922, Hans Riegel devançait déjà son temps, créant un nouvel univers.
Encore aujourd’hui, le bonbon reste une parenthèse sucrée, un lien renoué avec l’enfance, une petite transgression ludique dans le parcours semé d’embûches des adultes « responsables ». Et s’il suffit de ce moment volé au temps, de cette gourmandise assumée et partagée pour retrouver le sourire, n’est-ce pas essentiel ?